[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]Le syndrome de l’imposteur, tu connais sûrement ! C’est la sensation de tromper son entourage : alors qu’on réussit dans la vie, on ne s’en attribue pas le mérite, comme si nous n’étions pas responsables de notre succès, pas légitimes d’être là où nous sommes.
Le syndrome de l’imposteur touche absolument tout le monde. Selon une étude publiée dans Futura Sciences, 70 % de la population doutera au moins une fois de ses compétences. Mais stéréotypes sociaux obligent, il est bien plus présent chez les femmes.
Ce qui me désole, c’est qu’il est la réponse à la question : « pourquoi les femmes n’entreprennent pas plus ? » ou « pourquoi certaines femmes auto-sabotent leur carrière ? » Il est responsable du gâchis de nombreux talents ! Parce qu’à cause de ce fichu syndrome de l’imposteur, des livres ne sont pas écrits, des entreprises ne sont pas créées, des femmes ne deviennent pas cheffes et ne changent pas la vie des gens et de leurs collaborateurs !
Alors tu sais ce qu’on va faire dans cet article ? On va attraper le syndrome de l’imposteur par le col et lui mettre un bon coup de poing pour qu’il se taise une bonne fois pour toutes ![/vc_column_text][vc_single_image media= »981″ media_width_percent= »50″ alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]
Sache que ton syndrome de l’imposteur te ment !
Faisons un test. Tu as réussi quelque chose dans ta vie : devenir manager, obtenir une augmentation, décrocher le poste de tes rêves, gagner une compétition de sport, raye la mention inutile. T’es-tu déjà dit à ce moment-là :
- J’ai eu de la chance ?
- Ce n’est pas parfait ?
- Ce n’était pas si dur que ça ?
- Mes collègues m’ont beaucoup aidé ?
- C’est normal d’y être arrivé ?
Je t’arrête tout de suite. Ce n’est pas toi qui parles : c’est ton syndrome de l’imposteur.
Penses-tu sincèrement qu’au sein de notre société, on fait des cadeaux aux femmes ? Bien sûr que non ! Si tu as réussi à devenir manager, c’est grâce à toi. Si tu es chef d’entreprise, tu ne l’as pas volé, bravo ! Si tu as une position de pouvoir quelle qu’elle soit, c’est que tu t’en es sortie et tu t’es battue pour y arriver. Si tu as réussi à obtenir un diplôme supérieur dans un métier largement masculin, c’est pareil, sois fière de toi !
Personne ne t’a fait de cadeau en chemin ! Il n’y a aucune raison de croire que tu es là par hasard ou qu’on t’a donné quelque chose que tu ne mérites pas.
Point bonus si tu es issue de l’immigration, d’une classe populaire, si tu es noire ou si tu as dû interrompre ta carrière pour élever des enfants. Ta situation est encore plus désavantageuse de façon complètement injuste. You go girl !
Un conseil pour toi : donne un nom à cet imposteur qui parle dans ta tête. A chaque fois qu’il refait surface, dis-lui de se taire et qu’il a tort. Tu verras, ça devrait déjà t’aider ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row row_height_percent= »0″ overlay_alpha= »50″ gutter_size= »3″ column_width_percent= »100″ shift_y= »0″ z_index= »0″][vc_column column_width_percent= »100″ position_vertical= »middle » gutter_size= »3″ overlay_alpha= »50″ shift_x= »0″ shift_y= »0″ shift_y_down= »0″ z_index= »0″ medium_width= »0″ mobile_width= »0″ width= »2/3″][vc_column_text]
Le syndrome de l’imposteur : du sexisme internalisé
Ma grand-mère, cette badass, avait coutume de dire : « ce sont les tonneaux les plus vides qui font le plus de bruit ! » Jolie métaphore qu’on peut appliquer à certains hommes qui se retrouvent propulsés à des postes par on ne sait quel miracle. Je suis sûre que tu as en tête un manager là tout de suite et tu te dis « mais c’est pas possible, c’est le fils du patron ou quoi ? »
Et si tu n’as pas d’exemple en tête, je t’en donne un : Paganelli sur Canal +. C’est un ancien joueur de foot reconverti en journaliste sportif. Il interviewe les joueurs en bord terrain et pourtant il est incapable de retenir une statistique de football, de connaître le nom des joueurs et il ne parle pas un mot d’anglais. Je ne comprendrai jamais ce qu’il fait là ! Si ça avait été une femme à sa place, on l’aurait déjà traité d’incompétente notoire, mais lui ça fait 10 ans qu’il est là et personne ne semble remarquer son incompétence !
Si le syndrome de l’imposteur touche autant les femmes, c’est parce qu’il s’agit de sexisme internalisé depuis le plus jeune âge. Les petites filles sont élevées pour être sages, rester tranquillement dans leur coin sans faire de bruit et être modeste.
On nous apprend à ne jamais rien dire de positif sur soi. Cette modestie poussée à l’extrême fait des dégâts à l’âge adulte : on finit par croire qu’on ne vaut rien d’extrêmement positif et qu’on ne dépasse pas de la norme.
Une fois que tu sais qu’il s’agit de sexisme internalisé, je ne dis pas que c’est facile de se débarrasser de ton syndrome de l’imposteur, mais au moins tu as identifié l’une des horribles facettes de sa personnalité ![/vc_column_text][vc_single_image media= »982″ media_width_percent= »35″ alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]
Alors on le met K.O ce syndrome de l’imposteur ?
Autre chose : as-tu remarqué le double standard impossible avec le syndrome de l’imposteur ? Je suis sûre que tu te dis que quand tu réussis, ce n’est pas grâce à toi mais à une variété large de facteurs alors que quand tu échoues c’est uniquement de ta faute !
Remarques-tu l’absurdité de cette pensée ?
C’est l’une des manifestations les plus violentes du syndrome de l’imposteur. Ces pensées viennent ronger ton énergie et elles te forcent à livrer une bataille permanente en interne tout à fait injuste. Évidemment, avec cette posture, tu as peur d’entreprendre, peur de te tromper ou de subir des remontrances (réelles ou fictives).
Ta priorité numéro 1 pour avancer dans ta carrière et devenir enfin la Girl Boss que tu es, c’est de te débarrasser de ce boulet, de ce passager clandestin dans ta tête. Si tu te sens prête à passer à l’action, tu trouveras mon programme « 30 jours pour booster ta carrière » ! Je t’apprends pas à pas à l’aide d’exercices concrets à oublier tes croyances limitantes !
Tu peux commencer par faire un exercice. Prends un carnet et note les accomplissements de ta vie. Souviens-toi quand tu rêvais d’être à la place que tu occupes aujourd’hui au lieu de penser que tu ne devrais pas être là.
Tu vas sûrement trouver ça difficile au début. N’hésite pas à demander de l’aide à une personne qui te connaît ou à me contacter pour entreprendre un coaching avec moi. Cela fait partie de mes thématiques préférées : j’adore montrer à mes coachées qu’il y a un paquet de raisons d’être fière de ce qu’elles ont réalisé et qu’elles ne l’ont certainement pas volé ! Seras-tu la prochaine ?
Mon meilleur conseil : traite-toi comme une amie !
Dirais-tu la moitié des choses que tu te dis à toi-même à une amie ? Penserais-tu qu’une amie est un imposteur dans ce qu’elle accomplit ? Imaginerais-tu qu’elle a volé sa place ?
Bien sûr que non ! Tu ne penserais jamais tout ça d’une amie, donc tu n’as aucune raison de le penser de toi-même !
Si tu as besoin de Girl Boss en puissance autour de toi pour te booster au quotidien, rejoins-nous sur notre groupe Facebook !
Alors prête à le mettre au tapis ce syndrome de l’imposteur ?[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][vc_single_image media= »1130″ media_width_percent= »100″][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image media= »1132″ media_width_percent= »100″][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image media= »1131″ media_width_percent= »100″][/vc_column][/vc_row]